Aids Activist Memorial

2024 — Mémorial pour des activistes du sida mort·es du sida à travers le monde propose d'activer la mémoire de celleux qui se sont battu·es contre la maladie, mais qui en sont mort·es. Peu à peu la mémoire s'efface et quand on fait des recherches sur elleux, on ne trouve pas beaucoup d'information ou elles sont souvent dispersées. Je crée non seulement une oeuvre commémorant la mémoire de l'activiste disparu·e, mais je propose aussi de présenter une page internet accessible avec un QR Code, donnant accès à de nombreuses informations centralisées que j'ai pu trouver en faisant des recherches sur elleux : texte, interviews, images, liens vidéos. Dans ces panneaux j’écris avec la paillette rouge le nom, l’année de naissance, l’année de la mort, le lieu de naissance et le lieu de la mort de l’activiste. La paillette comme médium d'enpuissancement, rouge sur blanc qui sont les couleurs liées au VIH/sida depuis le début de l'épidémie. Une oeuvre qui célèbre la mémoire de celleux disparu·es, qui continuent à oeuvrer avec nous, dépassant le binarisme vivant·es/non vivant·es, une autre manière d’envisager la relation avec celleux que nos sociétés appellent mor·tes. Quand on fait des recherches sur les activistes mort·es du sida, il est très difficile de trouver des personnalités extra - occidentales, comme si cette histoire ne concernait que les américain·es et les européen·nes. Si l’histoire est écrite par les vainqueur·es alors les algorithmes de google répète encore et toujours les mêmes gestes. L’effacement de certain·es et la visibilisation d’autres. Je propose de créer des espaces de visibilité de tou·tes quelque soit le lieu de naissance. Un espace de recueillement, un espace d'information, un espace de médiation avec les mort·es.. Mémorial pour des activistes du sida mort·es du sida à travers le monde propose d'activer la mémoire de celleux qui se sont battu·es contre la maladie, mais qui en sont mort·es. Peu à peu la mémoire s'efface et quand on fait des recherches sur elleux, on ne trouve pas beaucoup d'information ou elles sont souvent dispersées. Je crée non seulement une oeuvre commémorant la mémoire de l'activiste disparu·e, mais je propose aussi de présenter une page internet accessible avec un QR Code, donnant accès à de nombreuses informations centralisées que j'ai pu trouver en faisant des recherches sur elleux : texte, interviews, images, liens vidéos. Dans ces panneaux j’écris avec la paillette rouge le nom, l’année de naissance, l’année de la mort, le lieu de naissance et le lieu de la mort de l’activiste. La paillette comme médium d'enpuissancement, rouge sur blanc qui sont les couleurs liées au VIH/sida depuis le début de l'épidémie. Une oeuvre qui célèbre la mémoire de celleux disparu·es, qui continuent à oeuvrer avec nous, dépassant le binarisme vivant·es/non vivant·es, une autre manière d’envisager la relation avec celleux que nos sociétés appellent mor·tes. Quand on fait des recherches sur les activistes mort·es du sida, il est très difficile de trouver des personnalités extra - occidentales, comme si cette histoire ne concernait que les américain·es et les européen·nes. Si l’histoire est écrite par les vainqueur·es alors les algorithmes de google répète encore et toujours les mêmes gestes. L’effacement de certain·es et la visibilisation d’autres. Je propose de créer des espaces de visibilité de tou·tes quelque soit le lieu de naissance. Un espace de recueillement, un espace d'information, un espace de médiation avec les mort·es.
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